NBA Players of the Week for Week 1!@KarlTowns of the @Timberwolves (West)@TheTraeYoung of the @ATLHawks (East) pic.twitter.com/I4l8vABgMs
— NBA (@NBA) October 28, 2019
- CONFERENCE OUEST : KARL-ANTHONY TOWNS
C’est une surprise tant les Minnesota Timberwolves figuraient parmi les équipes avec le moins de hype avant les premiers matchs de cette saison 2019/2020. Pourtant, Karl-Anthony Towns nous a très vite impressionné en prouvant qu’il pouvait mener ses coéquipiers limités vers des succès collectifs. Il a d’abord vaincu les Nets d’un Kyrie Irving à 50 points, avant de logiquement battre Charlotte. Hier, les Wolves ont enfin vaincu le Heat au terme d’un match très intense où la main chaude d’Andrew Wiggins en fin de match aura terrassé l’équipe de South Beach. Dans ces victoires, Towns a été monstrueux. Il termine la semaine à 32 points (52%), 13.3 rebonds, 5 passes, 3 interceptions et 3 contres de moyenne. Un départ bouillant pour l’intérieur qui va devoir rester dans une forme optimale pour vaincre les Sixers mercredi soir.
- CONFERENCE EST : TRAE YOUNG
Le KAT a effectué une première semaine impressionnante, mais que dire de Trae Young… On manque de qualificatifs pour poser des mots sur la première semaine hors-normes que vient de réaliser le meneur qui n’entre que dans se deuxième saison en NBA. Il continue de déjouer tous les scepticismes liés à son physique en dominant la ligue avec une assurance époustouflante pour un joueur de son âge. Il n’a joué que 2 matchs lors de cette première semaine, mais ce fut largement suffisant pour lui offrir ce trophée tant il a crevé l’écran. Il a commencé en écartant facilement les Pistons à l’extérieur (38 points, 9 passes, 7 rebonds) avant de récidiver deux jours plus tard dans une performance presque identique face au Magic (39 points, 9 passes, 7 rebonds). Dans cette seconde victoire, il a de plus été extrêmement clutch. Son début de saison est une mixtape ambulante avec des tirs depuis le logo qui rentrent sans soucis à l’image d’un Stephen Curry de la grande époque. Avec un Trae Young aussi divin, les Hawks n’ont rien à craindre. Pourvu que ça dure !