Ce n'était qu'une question de jour et c'est désormais officiel, Chris Copeland vient garnir les rangs des Milwaukee Bucks new look. Après une saison qui a vu la franchise coachée par Jason Kidd jouer les playoffs, Milwaukee va désormais pouvoir s'appuyer sur un renfort de choix sur le banc avec l'ancien Pacer.
L'ailier a découvert tardivement la NBA lors de la saison 2012-2013 après plusieurs passages en D-League. A cette époque, il appartenait à une franchise en pleine forme et avait largement contribué à la réussite de la franchise de la grosse pomme avec 8,7 points (48%, 42% à 3pts), 2,1 rebonds en seulement 15 minutes de jeu, laissant ainsi rêver à un possible retour à la lumière des Knicks.
A cette époque également, Chris Copeland avait été guidé par un certain Jason Kidd qui a laissé New York pour commencer sa carrière de Head Coach du côté des Nets avant d'être envoyé aux Bucks au cours de l'été 2014. Chris Copeland avait choisi en 2013 de rejoindre Indiana. Malheureusement, sa première année a été un échec à la sportif et physique. La saison passée, Chris Copeland a dû se battre contre lui-même, mais il a bénéficié d'un temps de jeu plus conséquent à cause de l'absence prolongée de Paul George, pour terminer la saison avec une moyenne de 6,2 points (36%, 31% à 3pts) et 2,2 rebonds en 17 minutes. Cependant, une sortie nocturne à New York en avril dernier l'empêchera de poursuivre le reste de l'exercice 2014-2015 après avoir été blessé à l'arme blanche.
Aujourd'hui, Copeland s'offre un nouveau départ et retrouve aussi Jason Kidd, celuui qui a participé à l'émancipation de Copeland à New York. WEEI qui a repris l'annonce du General Manager John Hammond, ne connaît pas les termes du contrat, mais les Bucks montrent leur envie de s'installer durablement parmi les outsiders de l'Est. Pour Copeland, le défi sera de taille derrière Jabari Parker qui peut évoluer au poste 3, mais surtout derrière Giannis Antetokounmpo. Mais il a prouvé qu'il réussissait très bien à rentabiliser son peu de temps de jeu et de donner une autre dimension au banc, ce qui a manqué aux Bucks la saison passée pour aller plus loin en post-season.