Le Birdman est revenu de nulle part quand le Heat a choisi de l'engager pour minimum vétéran en 2013. Chris Andersen est un drôle d'oiseau qui vole en NBA par son jeu ultra-défensif, mais son tempérament peut inquiéter.
Les Nuggets n'ont pas voulu prolonger l'aventure, alors en février 2013, le Heat, en mal de pivot et en quête du Back-to-Back, décide de l'engager pour le reste de la saison. La formule fonctionne et Andersen remporte son premier titre NBA, en apportant une force intérieure primordiale en playoffs, et notamment en finale face aux Spurs.
Il a droit à une saison supplémentaire, mais cette année-là, il aura un peu plus mal pour faire face à la force intérieure de San Antonio. Il termine l'exercice 2013-2014 avec 6,6 points (55%), 6,2 rebonds et 2,5 contres en 21 minutes de jeu, et lors des playoffs il finira sur une moyenne de 5,1 points (58%), 5,9 rebonds et 1 contre en 18 minutes. En juin dernier, le Birdman a choisi de ne pas activer sa player option et donc de ne pas toucher 1,4 million de dollars comme promis, pour rejoindre la Free Agency.
Pas mal de franchises étaient prêtes à s'offrir les services du pivot de 36 ans, mais le Heat a réussi à convaincre le Birdman de garder son nid plus longtemps à Miami selon Yahoo! Sports, malgré le départ de LeBron James. En attendant le retour probable d'Udonis Haslem, le Heat est sur le point de présenter une bonne raquette qui a de l'expérience avec Chris Bosh et le néo-Heat Josh McRoberts.