Mais les Rockets n'ont, semble-t-il, pas terminé leur marché estival. Un été chaud à Houston.
Le staff de Houston lorgne sur la star des Knicks de New York, Carmelo Anthony. De son côté, Melo a clairement affiché son envie d'ailleurs et la franchise texane semble être le lieu idéal pour jouer le titre dès la saison prochaine. Imaginez un Big Three composé de Chris Paul-James Harden-Carmelo Anthony !
Aussi, New York souhaite tourner une page et après l'éviction de Phil Jackson, Melo ne semble plus être dans les petits papiers de l'intérimaire (ou définitif) président des Knicks, Steve Mills.
Selon Ian Begley d'ESPN, Anthony semble aussi être optimiste :
J'ai entendu que Carmelo se sent vraiment confiant à propos d'un deal avec Houston. Mais le transfert de Melo devrait pouvoir se faire uniquement avec une troisième franchise, incluant Ryan Anderson - révèle Begley.
L’ailier shooteur serait prêt à faire une croix sur sa clause de non transfert en cas d’accord avec Houston.
Après avoir prolongé Harden sur 4 années et 170 millions de dollars, les texans tentent coûte que coûte de démeler la situation avec New York et donc, une troisième franchise. Ryan Anderson serait la parfaite monnaie d'échange car ce dernier a un contrat de 61,2 millions de dollars sur 4 années. Seule ombre au tableau, NY City ne veut pas d'Anderson qui ne pourrait finalement jouer que le back up de l'avenir de Big Apple, Kristaps Porzingis. A plus de 60 millions de dollars, on les comprend.
Une troisième franchise doit ainsi se joindre à cet énorme transfert. Pour l'heure, son nom n'est pas connu.
Interrogations au menu quant à cet hypothétique trade même si Houston va tout faire pour venir titiller la forteresse infernale de Golden State... Et avec Melo, Houston pourrait peut-être enfin décoller.
Enfin, Cleveland ne semble pas en mesure de lutter face à Houston pour enrôler l'ailier de 33 ans, ami de longue date de LeBron James. D'autant plus qu'il y a une poignée de jours, Jeff Green, le Melo du pauvre, a accepté un contrat d’un an à 2,3 millions de dollars. Avec une luxury tax à 124 millions de dollars, Cleveland est déjà dans le rouge. A moins de lâcher Kevin Love, on en doute fortement, les Cavaliers auront un effectif pour faire tout aussi bien que la saison dernière mais comme dirait l'autre, seul le titre NBA compte...
Quoiqu'il en soit, la saga autour de la star des Knicks n'en finit plus et alimente la planète basket au quotidien. Pour quel dénouement ? Affaire à suivre sur Inside Basket.