Royce White veut y croire, mais...
Les Rockets, les Sixers et les Kings ont tenté le tout pour donner sa chance à Royce White, mais les phobies de l'intérieur n'ont été qu'un frein à sa jeune carrière. Pour autant, l'ancien numéro 16 de la draft 2012 veut y croire.
La question est de savoir si d'autres franchises sont prêtes à lui faire confiance, à l'aider à supporter les exigences de la NBA, que ce soit sur ou en dehors du terrain. Après plusieurs passages en D-League, Royce White a eu l'opportunité de se montrer pour la première fois avec le maillot des Kings. Il n'a joué que trois matchs en NBA pour un total de 9 minutes.
Si White sort de son silence, c'est notamment après la sortie de Larry Sanders du circuit de la NBA. Sujet à des problèmes aigües d'anxiété et ayant de sérieux soucis mentaux associés à une dépression sévère, le pivot des Bucks a préféré se retirer des débats pour prendre soin de lui avant tout. White a tenté de se retrouver également, de pouvoir combattre sa phobie de l'avion notamment, qui l'avait empêcher de bien démarrer avec les Rockets ou encore d'assister à sa propre draft en 2012.
Sur son compte Twitter, l'intérieur a salué la décision de Sanders, mais il a également expliqué qu'il n'avait jamais dit qu'il ne rejouerait plus jamais au basket. Bien au contraire, White estime qu'il n'est fini pour le basket et surtout pour la NBA. Actuellement, White est sur le point de reprendre l'entraînement et certains insiders de Fox News annoncent que l'intérieur se présentera aux Summer Leagues. La case D-League ne lui fait plus peur, d'autant que certaines franchises nécessitent plus à donner de réelles chances à ces joueurs de cette antichambre de la NBA.
Si les performances sont au rendez-vous, White n'aura encore qu'un maigre espoir de retrouver la NBA. Si son potentiel est avéré, ses problèmes mentaux sont des boulets pour les franchises.