Qui est le meilleur rookie de ce début de saison ?

Qui succédera à Michael Carter-Williams en tant que meilleur rookie 2015 ?

La saison passée, la course au trophée de meilleur rookie avait coupé court tant le meneur de Philadelphie avait dominé les débat d'entrée de jeu et ce, malgré la très bonne saison de Victor Oladipo. 
Cette année, la course au ROY semble beaucoup plus ouverte avec plusieurs joueurs titulaires ou avec un rôle majeur. Insidebasket vous propose donc de découvrir l'actuel gratin des débutants.
 

On l'attendait en tant que nouveau Franchise player au sein d'une équipe dans les bas fonds de la ligue, mais heureusement pour les Bucks, c'est un tout autre scénario qui se produit depuis la reprise. 
Jabari Parker n'a certes pas explosé statistiquement mais est devenu très rapidement un soldat indéboulonnable dans la rotation de Jason Kidd. Troisième option en attaque derrière Brandon Knight et Giannis Antetokounmpo, Parker s'est fondu à la perfection dans l'effectif, se sacrifiant pour le collectif et ça marche plutôt bien. Dernier la saison passé, Milwaukee est actuellement 5ème à l'Est (8-7).
Sa capacité à évoluer aux postes 3 et 4 apporte beaucoup aux Bucks et malgré des stats peu affolantes (11,9 points et 5,9 rebonds), il est clairement le meilleur rookie de ce début de saison. 


 

 

Comme on l'espérait la saison passée, le soir de la Draft ainsi que lors du transfert de Kevin Love, Andrew Wiggins est bel et bien l'outsider N°1 de Parker pour le titre de meilleur rookie.
Seul rookie à être titulaire avec Jabari Parker (si on excepte les Sixers), le numero un de la Draft alterne entre le bon et le moins bon du côté de Minneapolis, moins régulier que son homologue, il reste cependant le meilleur rookie au scoring (12,5 points).
13ème de la conférence Ouest (3-9), l'ex-Jayhawk devra encore mûrir et faire progresser son jeu pour espérer franchir un cap et faire gagner d'avantage les Timberwolves. 


 
 

Fraîchement arrivé de Turquie cet été, le croate pose enfin les pieds en NBA et ses débuts sont plutôt encourageants. Agé de 25 ans, l'ailier apporte toute son expérience dans un effectif des Nets déjà bien rempli en la matière. Shooteur reconnu, son apport en sortie de banc (9,9 points) fait beaucoup de bien à Brooklyn. Avec le temps, une fois que le joueur aura bien pris ses marques, Bogdnovic pourra se lâcher d'avantage et augmenter son rendement au scoring.


 
 

Le jeune joueur du Magic est une des très belles surprises de la Draft 2014. Longtemps dans l'ombre de Dante Exum, le rookie se révèle aujourd'hui comme le meilleur poste 1 de la dernière draft. Bon défenseur, athlétique, altruiste et complet (6,4 points, 3,3 rebonds et 4,9 passes), Payton fait les joies du Magic par sa polyvalence et son intensité de jeu.
Si le meneur shoote peu actuellement, il lui reste une très grande marge de progression lui permettant de passer de joueur altruiste à véritable leader à l'instar d'un Rajon Rondo aux Celtics.


 

Peu en réussite en ce début de saison, le MOP du dernier Final Four explose enfin depuis quelques matchs. Profitant des absences à l'arrière (Dwyane Wade et Norris Cole), le meneur du Heat a enfin trouvé son rythme de croisière et en continuant ainsi, il peu clairement se joindre à la course au ROY.
Plus scoreur que Payton et meilleur que Dante Exum, Napier affiche de belles stats (7,9 points, 2,7 rebonds et 2,3 passes) pour un rôle player et risque de progresser encore, au fur et à mesure que son rôle au sein de Miami grandira. 


 

 

Après le sacre de Michael Carter-Williams en 2014, difficile d'imaginer un Sixer soulever le trophée cette saison tant l'équipe est mauvaise (0-14).
Malgré les défaites à répétition, deux rookie ressortent du lot, KJ McDaniels (8,9 points), l'extérieurs à tout faire ainsi que Nerlens Noel (7,9 points et 6,4 rebonds), qui lui déçoit dans sa globalité tant les attentes en lui étaient grandes.