Pour Danny Ainge, Ray Allen doit signer en janvier
Alors que les rumeurs annoncent que Ray Allen va prochainement s'engager comme convenu avec les Cavs, son ancien patron Danny Ainge lui conseille d'attendre en janvier pour rejoindre Cleveland.
L'arrivée de Ray Allen dans l'Ohio était imminente selon plusieurs sources proches de la franchise, notamment celles du Beacon Journal, mais Jesus n'a pas officialisé une quelconque signature en faveur des Cavs.
Dans l'hypothèse d'un débarquement dans l'Ohio, les Cavs se retrouvaient avec une armada de snipers assez impressionnante quand on sait que Mike miller, Shawn Marion ou encore James Jones sont reconnus dans ce domaine. Avoir le plus grand sniper de l'histoire de la NBA offrirait la meilleur base arrière de tireurs d'élite.
Comme pour éviter de renforcer encore un peu plus le nouveau favori à l'Est, son ancien patron de Boston, Danny Ainge, explique via CSNNE que l'ancien numéro 20 des Verts devrait attendre en janvier pour définitivement s'engager aux Cavs, ou une autre formation :
"Il peut attendre jusqu'au All-Star Break, ou encore en janvier. Il pourra ainsi voir comment les équipes se comportent avec ou sans lui, quelles sont les équipes les plus en forme et quelles équipes peuvent lui convenir, par rapport à sa façon de jouer. Avec de nouveaux coachs, de nouveaux joueurs dans un nouvel environnement, vous préférez regarder avant de prendre une décision"
Ainge tente-t-il de faire revenir Allen à Boston. Pas de miracle, Ray Allen veut partir avec une troisième et dernière bague, or les C's ne sont pas en mesure de lui assurer un tel cadeau avant de prendre une retraite bien méritée. Cette quête du dernier sacre est compréhensif pour Ainge.
"S'il rejoint une équipe qui joue le titre, il ira pour le minimum salarial. C'est son droit le plus strict de vouloir gagner un dernier titre. Il n'y aucun problème pour qu'un joueur de l'expérience de Ray puisse choisir sa formation. C'est complètement différent de ce que nous avons vécu dans les années 1980 voire les années 1990. Je ne blâme pas un joueur comme Ray, de vouloir trouver la meilleure équipe pour conclure sa carrière."