Phil Jackson confirme l'arnaque Andrea Bargnani
Andrea Bargnani vient garnir l'effectif des Nets, mais Phil Jackson tient à souligner l'arnaqueur qu'il est. L'Italien n'a jamais eu une critique aussi vive de la part de son ancien employeur.
L'intérieur italien Andrea Bargnani est loin d'être l'intérieur référence de la NBA et son passage absolument raté du côté des Knicks n'a fait que confirmer le manque d'engagement de la part de l'ancien numéro un de draft qu'il a été.
Après deux saisons à oublier avec New York, Bargnani s'est engagé pour le minimum avec les voisins de Brooklyn et l'intérieur avait souligné qu'il aurait été prêt à jouer gratuitement s'il pouvait. D'ailleurs, mérite-t-il un salaire pour ses prestations et les attentes qui n'ont pas été honorées depuis quasiment ses débuts ? On se pose la question sur Andrea Bargnani.
En tout cas, Phil Jackson avait fait de Bargnani sa tête de turc. Le président des Knicks n'avait pas caché à l'époque tout faire pour se débarrasser du cas et du gros contrat de l'Italien. Une fois parti, Jax se lâche un peu plus sur Bargnani comme on peut le lire sur ESPN :
"AB a été et reste encore de la poudre aux yeux. Quand il était blessé, il a refusé de faire du jeu sans contact. Il avait l'air de simuler et cela a eu un effet néfaste sur l'équipe, et aussi sur la façon dont les fans des Knicks ont réagi à son égard. Quand il était sur le terrain, il avait du mal à tenir l'intensité, il ne revenait pas en défense, il n'était d'ailleurs pas actif en défense sur les pick-and-rolls. Cependant, son jeu offensif correspondait parfaitement au jeu en triangle parce qu'il n'avait pas à travailler pour avoir des shoots. C'est un joueur auquel nous avons renoncé et il restera une énigme.
Critiqué, souvent moqué, Bargnani va avoir du mal à se relever cette saison avec les Nets qui comptent de vrais intérieurs en la personne de Brook Lopez, Thaddeus Young et Thomas Robinson, mais surtout, il aura du mal à se libérer de son image de gâchis sportif après son passage aux Knicks et surtout après les critiques acerbes de Phil Jackson.